mercredi 25 juillet 2007

HEREUX LES SIMPLES D'ESPRITS (conte comique en un acte)

Au village de Montberle, il y avait un idiot du village.

L'idiot était vraiment très bête. Il se faisait toujours arnaquer, il parlait de foot aux plantes, et tous les soirs il se saoulait et chantait à tue tête la même chanson d'Hugues Aufray.

Les autres villageois l'insultaient et le giflaient pour corriger son incorrigible idiotie.

Quand l'idiot arrivait aux champs, ses camarades le giflaient parce qu'il oubliait ses outils. Quand il était de cuisine, les autres le giflaient parce qu'il inversait le sel et le sucre. Quand il rentrait chez lui, sa femme le giflait parce que décidément elle aurait du écouter sa pauvre mère.


Un jour, alors que l'idiot était légèrement étourdi par l'excès de vin et de baffes, il alla s'en remettre à monsieur le curé du village.

L'idiot dit au prêtre: "Mon père, je n'en puis plus d'estre aussi sot. Pouvions-vous m'enseigner les secrets de la sagesse du christ et de la science du saint-esprit?"

Alors le curé le gifla à son tour et lui dit: "Quel prétentieux es-tu! Dieu t'a fait stupide et refuser ta condition est vanité."


Alors l'idiot alla dire aux autres villageois: "je vous trouve que vous estes bien veniteux vous autres à ne point accepter ma sottise qui n'est que la volonté de dieu."

Alors les villageois hurlèrent de rire puis le giflèrent pour son incorrigible idiotie.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Qui est le petit imbécile qui s'amuse à écrire ce torrent de vomi?

Sachez jeune homme - vous êtes jeune n'est-ce pas?, compte tenu de votre orthographe et de votre humour je suppose que vous avez 14 ans au plus- que je suis père d'un enfant trisomique et je vous laisse deviner ce que je pense de cet appel au lynchage des déficients qui rappelle les heures les plus sombres de l'histoire de l'europe.

Et vous ne me ferez pas le coup du second degré.

Je bous souhaite d'avoir un jour un grave accident qui vous laisse handicapé à vie. Vous aurez le choix entre vous pendre ou vous débarasser de votre vanité déplacée.